Celula strasbourgheză, recent încropită, emană primul text. O scurtă introducere asupra ideii naţionale, temă potrivită cu postura Strasbourgului.
Le principe d’idée ou
bien d’identité nationale est un principe qui relève du développement du
sentiment d’appartenance territoriale paru en Europe au XIXe siècle. Plus
précisément, le terme en soi ‚ à savoir l’„idée nationale”, est une expression
sémantique qui, sans préciser exactement, comprend plusieurs points en commun
plus ou moins concludents entre les personnes qui vivent sous le signe/le drapeau
d’un Etat, d’un territoire.
En définissant
successivement les points communs, on arrive à illustrer peu à peu le concept
d’identité nationale... que les Etats de l’Europe adoptent, et ses définitions
varient d’une décennie à une autre, par exemple en France on se confronte à la
révolution nationale du gouvernement de Philippe Petain entre 1940-1944 ce dernier s’inspire de la loi
latine, à savoir le droit du sang, qui existe également dans la religion
catholique, conformément à laquelle l’enfant est censé avoir la même
nationalité que ses parents et les différences qui se fondent sur des doctrines
racistes commencent à surgir.
Par la suite, je vais
essayer de souligner l’influence, l’autorité, le poids et à la fois le pouvoir
du nationalisme qui, à mon avis, à l’heurre actuelle, représentt la force la
plus importante du monde!
Le plus souvent, c’est
le nationalisme qui rend solides les pouvoirs européens de l’époque moderne, en
les transformant d’Etats-dynasties en Etats-nations, et le repandissement de
l’idéologie nationaliste a entraîné la destruction des Empires britannique,
français, otomane, hollandais, portugais, austro-hongrois et soviétique.
La nationalisme est la
principale raison pour laquelle l’ONU a eu 51 Etats membres juste après son
établissement en 1945 et à présent elle en compte 200 C’est la raison pour
laquelle les sionistes ont toujours rêvé à un Etat pour le peuple juif et les
Palestiniens veulent avoir leur propre Etat aujourd’hui.
Ce fait a permis aux
Vietnamiens de vaincre l’armée française et américaine pendant la Guerre Froide.
C’est également la raison pour laquelle les Kurdes et les Cecenes aspirent
toujours à leur propre statalité et les Ecossais ont demandé une plus grande autonomie
dans le cadre du Royaume Uni et enfin c’est la raison pour laquelle il existe
la République du Soudan du Sud
Le pouvoir du
nationalisme est facile à apprécier et à comprendre pour les gens à l’esprit
réaliste, comme remarquait dans un article JM. Les nations –car elles fonctionnent
dans un monde compétitif et parfois dangereux – semblent garder leurs identités
et leurs valeurs culturelles. Souvent, la meilleure modalité pour y parvenir
est d’avoir leur propre Etat, car sans un tel Etat, les groupes ethniques ou
nationaux sont d’habitude plus vulnérables à être conquis, absorbés et
assimilés.
En suivant le même
principe, les Etats modernes aussi ont
un fort imbolde de promouvoir l’unité nationale, en d’autres termes,
d’encourager le nationalisme – de sorte que, ayant une population loyale et
unie, prête à se sacrifier (et dans des cas extrêmes prête à lutter et à
mourir) pour l’Etat, renforcent leur pouvoir et leur habilité à faire face à
des menaces externes. Ainsi, dans un monde compétitif des politiques internationales, les nations
sont se prêtent à créer leurs propres
Etats et les Etats se prêtent à promouvoir une identité nationale commune pour
leurs populations. Ensemble, ces dynamiques jumelles créent une tendance
persistante d’avoir de plus en plus de nations indépendantes.
Evidemment, les nations
et les Etats ne parviennent pas toujours à atteindre leur objectif de
nation-Etat unifié. Certaines nations ne
peuvent pas gagner leur indépendance et certains Etats ne réussissent pas à
créer des identités nationales unifiées pour eux-mêmes. Et tout groupe culturel
ou ethnique ne se considère pas comme une nation ou aspire l’indépendance (bien
que jamais on ne sache quand un groupe pourrait vouloir obtenir une „conscience
natioanle”). Pourtant, pendant le dernier siècle, on enregistre une croissance
constante du nombre d’Etats, tout comme l’apparition de forts mouvements
nationaux dans beaucoup d’Etats et on ne
devrait pas s’attendre à une tendance inverse.
Il est impossible de ne
pas distinguer une différence entre l’idée de nation telle qu’elle est présente
en Occident et telle qu’elle est présente dans l’espace européen oriental ou
bien entre le nationalisme civique qui serait présent dans l’espace occidental
et un autre nationalisme, ethnique, exclusiviste, propre à l’espace est
européen. Toutes ces polémiques engendrent une large palette d’interprétations.
Bien sûr, Hans Kohn est l’un des précurseurs de ces conceptions. Il distinguait
entre le nationalisme de l’Ouest, surtout avant 1848 qui a représenté un
mouvement d’émancipation axée sur l’idée d’autodétermination, fondée sur les principes libéraux de la
raison humaine et de l’individu dont le prototype relève du nationalisme
américain. Il y a par contre un nationalisme de l’Est, fondé sur la tradition
et le passé, qui a déjà abandonné les idées illuministes et qui a servi comme
tremplin pour le racisme et l’expansionnisme.
On accréditait l’idée de
l’existence de deux types de nationalismes : un bon nationalisme qui soulignait
l’aspiration de l’homme vers l’égalité et la dignité, et respectivement un
mauvais nationalisme qui provoque la maladie du pouvoir au-dessus de tout !
Un autre théoricien,
John Plamenatz, oppose le nationalisme libéral du mouvement unifiant du XIXe
siècle à l’action brutale de ceux qui ont construit des cultures nationales là
où celles-ci n’existaient pas ou avaient centralisé les cultures déjà
existantes. L’idée que la modernité a accentué les conflits entre les Etats et
que la nation a plutôt servi comme motivation idéologique pour celles-ci est
aussi partagée par les socialistes.
Par exemple,
l’expérience cruciale déclenchée par Napoléon III visant un nouvel ordre
européen qui corresponde à l’idéal des nations s’est heurtée aux structures
étatiques existantes ainsi qu’aux incompatibilités nationales concurrentes.
Dans cette logique, la guerre franco-prussienne de 1870 a fait preuve que
l’époque du nationalisme idéaliste et fraternel s’était finie.
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